Défloration De La Fille D’Odile

DÉFLORATION DE LA FILLE D’ODILE –


Hors-Série - Dévergondages


Odile Laribeau, née de Rissac, est une jolie femme de quarante-huit ans, mariée à un homme de cinq ans son aîné et heureuse en famille. Elle est responsable des ressources humaines d’une société bordelaise. Durant six mois, elle est courtisée par Edmond Gardel, un notaire retraité de soixante-quatre ans. Invitée à déjeuner en tête-à-tête chez Edmond, Odile s’est laissée embrasser par son hôte. Victime d’un chantage, et pour éviter le déshonneur, elle cède au notaire.


« De toutes les perversions sexuelles, la chasteté est la plus dangereuse »
George Bernard Shaw


Edmond lui impose de ne pas porter de soutien-gorge, ni de culotte. Il lui achète des vêtements sexy et des sous-vêtements coquins. Il met à sa disposition un appartement discret pour qu’elle puisse y ranger ses tenues affriolantes. C’est dans ce lieu surprenant qu’il la prend en photo dans des poses plus qu’osée et qu’il la prépare à la sodomie en lui introduisant un premier rosebud. Puis, Edmond oblige Odile à s’exhiber sur une terrasse de restaurant, où un couple en fait de même. Dans les buissons d’un parc les deux hommes prennent leur femme et pour finir les deux filles font l’amour entre elles.


Le lendemain matin, au réveil, Odile est presque violée par Michel, son mari, mais surtout il lui déflore le trou du cul sans vergogne… Lorsqu’elle retrouve Edmond trois jours après, il commence à la soumettre en la flagellant, puis, à sa grande confusion, elle est surprise par sa fille à la terrasse du restaurant où le couple se restaure. Le soir même, son mari et sa fille étant absents pour la nuit, elle rejoint Antoinette, sa jeune collègue de bureau et, elle ose prendre l’initiative de se gouiner avec elle. Deux semaines plus tard, Odile offre enfin son cul à Edmond qui en profite honteusement. Celui-ci l’entraine dans un cinéma X où elle se retrouve inopinément en présence de Gérard, l’ex petit ami Black de sa fille et qu’elle est prise pour la première fois en sandwich entre les deux hommes.




Michel, le mari d’Odile l’emmène pour trois jours dans un lieu qu’il a tenu secret, c’est en fait l’auberge où elle a cédé à Edmond pour la première fois. Son mari la prend sans ménagement, alors qu’elle est angoissée qu’il découvre son infidélité. Puis, il lui fait subir les mêmes humiliations que son suborneur, mais cette fois, elle est presque heureuse que son mari puisse profiter de sa sexualité enfin débridée.


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Odile, nous l’avons dit est rassurée de savoir sa fille en stage à Bayonne dans le cabinet d’avocats qui l’a embauchée sur les recommandations d’Edmond. Ce qu’elle ignore, c’est que celui-ci se rend trois fois par semaine au cabinet de ses amis et qu’il a l’occasion d’inviter à chaque fois la jeune fille à déjeuner. Celle-ci est intriguée par cet homme élégant et fortuné qui se montre très galant et qui lui fait une cour discrète, la complimentant sur son efficacité au cabinet de ses amis, mais aussi sur sa façon de s’habiller et sur la grâce qu’elle dégage. Il se garde bien de faire la moindre allusion à son physique, ne mettant jamais mal à l’aise la fille d’Odile. Elle se demande tout de même ce que fait sa mère avec cet homme d’un âge certain, car elle ne peut douter qu’il y ait quelque chose entre eux. Malgré tout, elle est sous le charme du vieux Monsieur, lui faisant même des confidences sur son petit ami Gérard et sur ses appréhensions de fille sage qui est encore vierge.


Edmond ricane en lui-même, si cette jeune pucelle savait que son coquin de Black avait baisé sa mère dans un cinéma porno, alors que lui même la sodomisait en même temps, elle serait sans aucun doute horrifiée. Pourtant, il a bien l’intention de lui faire endurer mille cochonneries. Muriel est sensible aux petits cadeaux du notaire, il lui offre un carré Hermès, et un parfum parfaitement choisi pour la jeune fille délicate qu’elle est. Il arrive même à l’entraîner dans une boutique de Biarritz où il lui fait essayer plusieurs robes printanières en soie, se permettant même de toucher les tissus et par là même effleurer le dos, une épaule ou même un sein.
Muriel est très troublée, éprouvant un sentiment d’affection pour le vieil homme. Elle se dit que c’est avec un homme comme lui, délicat et attentionné qu’elle éprouverait du plaisir à perdre sa virginité, plutôt qu’avec un rustre comme Gérard.


La jeune fille est bien ferrée, alors qu’elle accepte des cadeaux de plus en plus somptueux et surtout des sous-vêtements arachnéens. Elle ne peut refuser, lorsqu’elle les essaye de se montrer à lui en soutien-gorge et petite culotte en dentelles. Celui-ci caresse comme par inadvertance les formes arrondies de la jeune fille, qui se laisse faire sous les compliments de plus en plus suggestifs de ce coquin de notaire. Muriel est curieuse des choses du sexe, bien qu’elle s’en défende, surtout après ce qu’elle a vécu avec son ex et la rupture qui s’en est suivie.


Muriel est très sensible au grand jeu d’Edmond, ainsi dans une cabine où elle fait un énième essayage, elle se laisse embrasser par le vieil homme qui lui caresse la poitrine et la croupe avec beaucoup d’adresse. Puis, elle éprouve des frissons sous les mains qui palpent ses fesses et ses seins, qu’il a même sorti du soutien-gorge qu’elle essayait. Elle est surprise par son baiser langoureux où leurs langues se mélangent. Elle laisse même une main se glisser sous son slip et atteindre son mont de vénus. Les doigts frôlent sa vulve, lui faisant beaucoup plus d’effet que la masturbation qu’elle s’octroie parfois. Lorsqu’un doigt s’insinue dans sa fente, elle a un gémissement mais se laisse faire, se rendant bien compte que le doigt qui s’agite dans l’onctuosité de sa vulve lui donne des frissons incroyables. Lorsqu’elle sent la jouissance l’envahir, elle connaît pour la première fois une délicieuse plénitude.


Elle est reconnaissante à Edmond, de ne pas avoir été plus loin dans cette cabine peu discrète, se trouvant à peine à l’abri des regards des clients dans cette boutique très fréquentée. Aussi elle apprécie particulièrement, qu’il la raccompagne sans lui en demander plus, au pied de l’immeuble où se trouve le studio que le cabinet d’avocat dans lequel elle fait un stage a mis à sa disposition pour qu’elle n’ait pas à rentrer chaque soir à Bordeaux.
Elle est très troublée par ce que son corps a ressenti aujourd’hui et par les sentiments contradictoires qu’elle a vis à vis d’Edmond. Elle ne l’aime pas d’amour tout en le considérant, mais elle ne sait pas le définir, un peu comme un pygmalion, car il est certain qu’il la révèle en tant que femme.


Sportive de haut niveau, puisque nageuse émérite, s’étant qualifiée pour les championnats de France Élite sur les 100 et 200 m dos, cette belle jeune fille de 22 ans au corps parfait et à la jolie tête agrémentée d’une longue chevelure blonde, a tout pour attirer les jeunes mâles de l’université qu’elle fréquente. Pourtant, son cœur bat pour ce bel homme de plus de soixante ans qui la traite avec une élégance digne d’une princesse.


Très habilement, Edmond reste une semaine sans venir voir sa protégée. Lorsqu’il lui téléphone pour lui demander si elle peut se libérer pour un déjeuner et passer un après-midi avec lui, elle lui répond avec empressement qu’elle va se débrouiller et le rappeler. En fait, cette attente l’a rendue inquiète de ne pas avoir de nouvelles et elle est contente de le retrouver. Rendez-vous est pris pour le jeudi suivant, cela fera presque deux semaines qu’ils ne se sont pas vus et Muriel est très impatiente de revoir Edmond. Lorsqu’il vient la chercher, il lui propose de l’emmener au bord du bassin d’Arcachon où des restaurants les pieds dans l’eau sont installés. En venant à sa voiture, alors qu’il lui tient galamment la portière ouverte, elle ose l’embrasser au coin de lèvres, se sentant frémissante d’être aussi hardie ! Alors qu’elle a mis une jolie robe printanière à fleurs jaunes sur un tissu blanc, Edmond le long de la route, pose sa main sur le genou découvert de la jeune fille. Celle-ci, rougit un peu, mais laisse faire, même lorsque les doigts du notaire remontent le long de la cuisse nue.


Edmond ne va pas plus loin, il sait que sa proie est consentante mais qu’il ne faut rien brusquer.
Elle tombera dans ses bras le moment opportun. Pour l’instant, à l’ombre de parasols, ils profitent du beau temps et d’un plateau de fruits de mer somptueux, arrosé d’un champagne rosé frappé à souhaits. La jeune Muriel babille avec le notaire sur tout et sur rien, quelque peu excitée par l’alcool, l’environnement et par ce qu’elle subodore des intentions du vieil homme envers elle. Bien qu’elle redoute la première fois qu’elle fera l’amour avec un homme, elle sent bien que depuis un certain temps, son corps réagit à la moindre des choses. Elle se masturbe en rêvant toute éveillée et les attouchements, pourtant anodins dans la voiture, ont provoqués une moiteur incroyable dans son entrejambe. Elle sent que sa culotte est humide et elle en rougit soudainement. Elle se lève.


- Vous permettez Edmond, je reviens de suite.


Elle se hâte vers les toilettes de l’établissement et enlève rapidement sa culotte qui est trempée. Elle sort d’une poche en plastique un joli slip blanc qu’elle a toujours avec elle, et place la culotte souillée dans la poche qu’elle ferme soigneusement. Elle se lave les mains et se parfume tout en se regardant dans la glace. Se sent-elle prête pour sauter le pas ? Elle n’en sait rien, en tout cas elle se trouve assez mignonne et se caresse les seins, s’envoyant un baiser à travers le miroir en face d’elle.


Lorsqu’elle revient auprès du notaire, celui-ci a réglé la note et il demande à Muriel, si celle-ci veut bien l’accompagner sans poser de questions. Muriel rosit, se doutant que cette fois, elle risque bien d’y passer. Pourtant Edmond est d’une délicatesse et d’une prévenance qui ne laisse en rien présager qu’il puisse se conduire d’une façon inconvenante. Elle décide d’accepter, pensant que ce vieil homme n’est pas un goujat pour r d’elle sans son consentement.


Lorsqu’ils arrivent à Bordeaux, Edmond se dirige vers la place Mitchell et sans aucune explication il gare sa limousine dans le grand garage de son immeuble.


- Ma Chère Muriel, j’ai un petit cadeau pour vous. C’est un vêtement. Voulez-vous l’essayer et me permettre de vous admirer dedans ?


Muriel, qui ne sait pas où elle est, ni ce que représente ce « cadeau », reste sans voix. Se peut-il que cet homme veuille la violer ? Rien dans son attitude affable et déférente ne le laisse supposer. Elle se décide à lui répondre timidement.


- Oui, je veux bien Edmond


Le couple se dirige alors vers l’escalier privatif et se retrouve rapidement au premier étage, dans le loft d’Edmond. Celui-ci dit à Muriel que cet appartement lui appartient et qu’il lui sert pour loger des amis de passage très occasionnellement. Il prend un grand carton enveloppé d’un papier cadeau et d’un ruban. Muriel, un peu tremblante détache délicatement le ruban, ainsi que le papier qui recouvre un carton au signe de « Miss Caprice ». En ouvrant la boite oblong, la jeune fille découvre une magnifique parure, composée d’un déshabillé somptueux en voile, d’un top blanc transparent et d’un string de même couleur. Muriel a très chaud d’un seul coup, comment va t-elle pouvoir porter cet ensemble sublime devant Edmond, alors qu’ils sont seuls dans cet appartement ? Pourtant le notaire est d’un calme irréprochable, il procède à la mise en place de flûtes et d’une bouteille de champagne qu’il dépose dans un seau rempli de glaçons, tiré du réfrigérateur qui se trouve dans le bar cuisine à l’américaine près de l’entrée. Il en retire aussi des blinis et sushis qu’il installe sur la table basse de la partie salon du loft.


Muriel n’a pas pu ne pas apercevoir l’immense lit rond qui occupe le centre du loft. Comme tous les meubles de couleur blanche, le cuir du socle souligne le couvre-lit en satin sur lequel des coussins multicolores sont disposés, avec un baldaquin permettant de le fermer entièrement. La pièce comprend également deux canapés et deux fauteuils en cuir, une table ovale pour quatre personnes et les chaises baquets assorties. Cela tranche sur les meubles en teck, avec notamment sur le mur face aux six fenêtres, un mur bibliothèque et multimédia, dans lequel se dissimulent des placards et un dressing dont les ouvertures paraissent invisibles. Au fond de la pièce, une cloison où une porte coulissante donne dans un minuscule WC et de l’autre côté, sur la salle de bains assez vaste avec le même genre de fermeture.


Sur l’indication d’Edmond, Muriel se rend à la salle de bains pour essayer la parure qu’elle vient de recevoir. Elle est surprise de voir que des produits féminins se trouvent en cours d’utilisation sur les tablettes. Elle s’aperçoit que des produits similaires sont dans la propre salle de bains de ses parents et même le parfum qu’utilise sa mère, reconnaissable entre tous : « Spiritueuse Double Vanille », de Guerlain. Se pourrait-il qu’elle vienne régulièrement dans cet appartement ?


Muriel se déshabille, constatant que son slip est imbibé de ses sécrétions. Elle mouille en permanence, excitée par cette journée troublante et par ses réflexions. Elle prend une douche sans se laver les cheveux, trop longs à sécher, puis elle enfile le top qui met en valeur ses seins orgueilleux et imposants, elle taille du 95 C, puis le string et enfin le déshabillé transparent qui met en valeur son admirable plastique. Elle sait qu’elle doit désormais faire honneur à son bienfaiteur qui lui a offert ce très beau cadeau. Comment va t-il la voir dans cette tenue où elle est plus que nue. Va t-il se comporter en gentleman et ne pas la forcer. Une boule d’angoisse obstrue sa gorge. Mais, en sportive aguerrie, elle se décide à entrer ans l’arène et ouvre la porte pour venir au milieu du salon.


Edmond qui est assis dans un des canapés, se lève et applaudit lentement alors que la musique de Mozart envahit la pièce en sourdine. Muriel est rouge de confusion. Edmond vient vers elle, puis, la prenant par la main, il la fait tourner sur place, admirant le corps sublime de la jeune fille à travers les voiles du déshabillé vaporeux et du top qui moule entièrement par transparence les globes volumineux des seins de la belle. Enfin, tenant toujours sa main, il l’attire sur le canapé où ils prennent place tous les deux. Il lui tend une des flûtes en argent d’où les bulles de champagne pétillent et ils boivent en se regardant dans les yeux.


Le cœur de Muriel bat à tout rompre. Elle songe que le moment attendu ne va pas tarder. Elle se trouve comme la petite chèvre de Monsieur Seguin, attendant que le loup la dévore, baissant la tête, vaincue d’avance. Aussi, lorsqu’Edmond entoure d’un bras ses épaules et qu’il lui relève le menton de son autre main, elle ne refuse pas le baiser qu’il lui donne. Elle mélange sa langue à la sienne, savourant ce prélude à des jeux qu’elle pressent beaucoup plus rudes.


Le vieux séducteur sait qu’il faut être très patient avec cette jeune vierge qu’il ne faut en aucun cas effaroucher. Il caresse le dos et les reins de celle qu’il compte bien baiser sous peu, mais ses gestes sont lents et à peine appuyés. Les doigts pianotent sur la chair à travers le voile soyeux, se glissant peu à peu vers la poitrine arrogante. Muriel souffle fort aux caresses subies, et lorsqu’Edmond glisse une main dans le haut de son string, elle quitte sa bouche en gémissant et love sa tête dans le giron de son épaule. Les doigts agiles ne tardent pas à atteindre le haut de l’entrejambe et un doigt s’insinue jusqu’au clitoris faisant sursauter la belle qui pousse un petit cri de surprise.


Très doucement Edmond qui embrasse sa compagne dans le cou, masturbe très légèrement le bouton d’amour de sa proie, voulant lui faire perdre le peu de résistance qu’elle a encore. Lorsque, vaincue par le bonheur de ses sens très sollicités, elle entrouvre ses cuisses jusqu’ici étroitement serrées, Edmond sait qu’il est bien près de son but, et qu’il n’a plus qu’à œuvrer avec adresse pour avoir cette jeune pucelle à sa merci. Pour vérifier, il tend un doigt vers sa grotte encore close. Son doigt s’aventure dans le pertuis très doucement et il ne tarde pas à ressentir une résistance. Bien sûr, il ne faudrait pas insister beaucoup pour que le doigt traverse la fine pellicule de l’hymen, mais il a conscience qu’il ne faut pas précipiter les choses.


Tout en l’embrassant, il fait glisser les bretelles de son déshabillé, puis, délicatement il lui ôte son top, découvrant sa poitrine généreuse qu’il caresse avec douceur, englobant les mamelons dans le creux de ses mains, puis agaçant les tétons turgescents de deux doigts réunis. La jeune fille gémit et entoure son cou de ses deux bras, lui laissant toute liberté pour disposer de son corps. Il fait rouler son string jusqu’à ses pieds, caressant au passage ses cuisses et ses longues jambes fuselées. Elle lui offre impudiquement le renflement légèrement rebondi de son bas-ventre, il se penche et enfouit sa tête dans l’entrecuisse, lui permettant cette fois de détailler sa chatte qui se trouve à quelques centimètres de ses yeux. Les grandes lèvres ourlent délicatement son vagin qui s’est entrouvert depuis qu’il l’a sollicité, il y a peu. L’intérieur rouge orangé est luisant et palpite d’excitation. Le capuchon du clitoris est gonflé, preuve s’il en est que son petit organe bande furieusement. Le pourtour de sa chatte est entièrement épilé, mettant en valeur son pubis recouvert d’un fin duvet composé d’une légère toison blonde coupée court. Il caresse la rondeur de son petit ventre avec une grande satisfaction, laissant ses lèvres le parcourir jusqu’à la vulve dont il hume le parfum juvénile qui s’en dégage.


Puis, il prend délicatement dans ses lèvres les chairs frémissantes de la vulve inviolée, parcourant le fin duvet qui recouvre le pubis jusqu’au capuchon du clitoris. Ensuite sa bouche rencontre une chair tendre et lisse de tout poil. Il embrasse successivement les replis de ses aines et glisse la langue au-dessous du vagin, léchant la raie culière jusqu’à l’œillet qui se contracte sous la caresse. Ensuite, il revient lentement jusqu’à la vulve, broutant les grandes lèvres et introduisant le bout de sa langue dans le pertuis qui s’entrouvre. La jouvencelle pousse des soupirs de contentement et laisse fuser un petit cri lorsque ses lèvres prennent délicatement le clitoris, suçotant très doucement le bonbon rose qui se déploie dans sa bouche comme une petite verge. Il est long et fin et tressaute violemment entre ses lèvres serrées. Il continue pourtant à sucer son bourgeon tout en agitant deux doigts dans sa fente vulvaire qui se révèle très étroite.


Ne perdant pas de temps et ne voulant pas que l’ingénue se reprenne, il vient se poster devant le petit con rose de la pucelle, il écarte les grandes lèvres avec les doigts, dégage aussi les petites lèvres, faisant apparaître les chairs distendues du vagin qui s’entrouvre devant la pine impatiente. Il distingue ainsi parfaitement l’échancrure contre lequel s’appuie son gland contre les chairs entrouvertes. Enfin il pousse son membre fermement contre la brèche qui cède brusquement et entre à demi dans la fente à peine élargie. Muriel pousse deux cris brefs de surprise et de douleur à l'introduction de la verge qui perce la fine membrane de son minou, alors que quelques larmes coulent le long de ses joues. C'est alors que le membre d’Edmond s'enfonce dans le vagin, glissant sur les chairs délicates. Il reste immobile un moment, puis doucement, il le glisse dans la fissure encore étroite, s'arrêtant lorsqu'il est bien au fond. Instinctivement le jeune tendron entoure les jambes masculines des siennes, et lorsqu’il commence ses va-et-vient, elle colle son ventre contre le sien. Muriel sent qu’une onde de chaleur envahit son bas-ventre alors qu'une vague de jouissance déferle dans son corps. C'est alors qu’Edmond glisse ses mains sous la taille de la petite en la prenant à bras le corps, il l'embrasse sur la bouche, mélangeant sa langue à la sienne. La jeune femme révélée se donne entièrement à son pygmalion jusqu’à ce qu’un premier orgasme bouleverse ses sens. Elle pleure et rit en même temps, mais de bonheur cette fois.


Muriel se fait transpercer par la bite d’Edmond avec une délectation incroyable. Celui-ci prend son pied sans vergogne, pilonnant sans interruption la trouée béante qu’il vient de faire dans cette chatte immaculée. Il enfonce ses doigts dans les fesses de la jeune fille qui, toute à la houle de jouissance déferlante qui envahit son ventre de femme, n’a aucune réaction aux doigts qui la nt. Elle voudrait que le dard qui s’enfonce en cadence dans sa chair intime ne s’arrête jamais. Elle se surprend à crier sans retenue sa jouissance, s’agitant sans cesse et s’agrippant à son pourfendeur jusqu'à ce qu’elle sente un liquide chaud gicler dans ses muqueuses et, au bout de quelques secondes, l’homme s’écrouler sur elle à bout de souffle. Elle l’embrasse partout où elle le peut, le remerciant de l’hommage et du bonheur qu’il vient de lui prodiguer, heureuse d’avoir fait l’amour avec l’homme qui vient de la révéler.


Edmond est à bout, Il se vide, s'écroulant sur le corps juvénile qu’il embrasse furieusement, s'agitant encore contre son ventre, le dernier orgasme la laisse sans force, elle se sent partir dans un délire féerique jusqu'au moment où elle perd conscience. Edmond attendri, regarde le corps comblé de la jeune ingénue qui vient de se donner à lui avec toute sa candeur.


Le couple enlacé étroitement reprend des forces. Il y a plus de deux heures que leurs ébats se sont engagés et ils ont besoin de récupérer. Edmond suggère que l’on fasse appel aux plats de sushis et de blinis disposés sur la table du salon Muriel acquiesce et en se levant, s’apprête à enfiler son déshabillé. Edmond l’arrête d’un bras, en lui spécifiant qu’il la préfère entièrement nue. Après s’être restaurés et avoir bu une seconde bouteille de Champagne, la jeune femme à présent se love contre Edmond et lui demande.


« Chéri, je peux dormir avec vous cette nuit ? »….



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Le VIEULOU tire sa révérence pour un temps indéterminé.

Il n’est pas certain qu’il sera de retour en 2017 pour vous raconter des histoires.

Les lecteurs vont bien entendu lui manquer…

Dans la mesure du possible, il continuera à lire ses auteurs préférés et à leur laisser des commentaires.

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